Le sacrement de l’Onction des malades – signe de la tendresse de Dieu pour la personne qui souffre – pourra être reçu au cours de la messe de 10 h 45 à Bretteville-sur-Odon le dimanche 8 avril 2018.
Pourquoi ce sacrement ?
- Pour un réconfort dans la souffrance
- Pour un soutien dans l’épreuve
- Pour recevoir la paix du Seigneur ressuscité
- Pour obtenir la guérison que Dieu peut me donner.
Ce sacrement est-il pour moi ? Maintenant ?
OUI SI :
- Ma santé commence à être sérieusement atteinte par la maladie ou la vieillesse.
- Ma souffrance est le signe de quelque chose en moi qui ne va pas ; ce déséquilibre qui me fait mal peut être organique ou psychologique
- J’apprends que j’ai une maladie grave, même à évolution lente
- Je vais subir une opération risquée
- Je passe par une épreuve douloureuse que j’ai du mal à surmonter.
L’onction des malades était pratiquée dans la toute première Église comme le confirme la lettre de Saint Jacques : « L’un de vous est-il malade ? Qu’il fasse appeler les anciens de l’Église et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient ; le Seigneur le relèvera et, s’il a des péchés à son actif, ils lui seront pardonnés. »
C’est pourquoi aujourd’hui des célébrations communautaires sont offertes pour recevoir dans la Paix et la Joie ce sacrement qui n’est pas pour la mort mais pour la Vie.
Si vous envisagez de recevoir ce sacrement, veuillez prendre contact avant le 3 avril avec :
- l’accueil du presbytère 11 avenue Henry Chéron 14000 – Caen. Tél 02 31 74 72 01.
- ou Brigitte Castel responsable de la Pastorale de la Santé : Tél 06 68 92 56 84.
Ainsi, dans la communauté paroissiale une chaine sans fin peut s’amorcer du malade au bien portant, du bien portant au malade. Les uns et les autres s’appellent : le monde a besoin de la prière des malades, les malades ont besoin du secours, de l’attention, de la compassion du bien portant.
Que tous retrouvent les racines de l’évangile : « porter les fardeaux les uns des autres, prier les uns pour les autres. »
Brigitte Castel