L'ESPOIR COMBLÉ
Pour notre réunion du jeudi 21 décembre, nous avons retrouvé avec plaisir la salle Notre-Dame : claire et accueillante après la rénovation des peintures réalisée par le service technique de la mairie. Nous avons poursuivi nos réflexions sur la campagne d'année autour de l'espoir.
METTRE SON ESPOIR…
Le texte de la Parole de Dieu choisi pour cette 2ème partie est la « Parabole du fils prodigue ». Il est habituellement présenté sous l’angle de la miséricorde de Dieu ; les concepteurs de notre campagne d’année ont voulu le lire sous celui de l’espoir.
Après la lecture et la méditation personnelle sur ce texte, par quelques questions nous revenons sur ce récit : les espoirs et les désillusions du jeune fils, son cheminement et sa décision de revenir vers son père, l’espoir sans faille du père et sa joie au retour de son fils. Ce récit est encore d’actualité et les familles peuvent vivre une situation semblable.
Le vivre et témoigner concrétise cette réflexion pour nos vies sur nos comportements vis-à-vis des autres, de notre espoir dans le Christ.
Les témoignages, le texte qui accompagnent cette réflexion illustrent que l’espoir confiant dans le Christ, dans sa tendresse pour chaque homme n’est jamais perdu.
ESPÉRER… ET NE PAS CRAINDRE
L’homme est racheté par l’amour. (« Spes salvi » n° 20 à 27)
« Lorsque quelqu’un dans sa vie, fait l’expérience d’un grand amour, il s’agit d’un moment de « rédemption » (salut) qui donne un sens nouveau à sa vie. Mais il se rendra compte que l’amour qui lui a été donné ne résout pas tout. Cet amour demeure fragile… L’être humain a besoin d’un amour inconditionnel. ». Benoît XVI poursuit en disant que celui-ci, nous le trouvons en Dieu, en Jésus Christ qui nous a aimés « jusqu’au bout » (Jn 13,1).
L’homme peut avoir de multiples espérances, mais seule cette grande espérance soutient l’existence humaine.
JE METS MON ESPOIR DANS LE SEIGNEUR
Relisons le psaume 129
Des profondeurs je crie vers toi Seigneur,
Seigneur, écoute mon appel !
Que ton oreille se fasse attentive
Au cri de ma prière !
Si tu retiens les fautes, Seigneur,
Seigneur, qui subsistera ?
Mais près de toi se trouve le pardon
Pour que l’homme te craigne.
J’espère le Seigneur de toute mon âme ;
Je l’espère et j’attends sa parole,
Mon âme attend le Seigneur
Plus qu’un veilleur ne guette l’aurore.
Oui, près du Seigneur est l’amour ;
Près de lui abonde le rachat.
C’est lui qui rachètera Israël
De toutes ses fautes.
NOTRE ÉQUIPE À CETTE RÉUNION
Les participants :
- Sœur Marie-Françoise,
- Mmes N.Cavalier, R.Creste, S Desmaisons, M. Durier, M. Gy, M-L Jutel, R. Le Pape, R.Poncet, A. Le Richeux, G. Marie, R. Piochon, M-C Salami, C. Stourm.
- MM : R. Cavalier, O.Desmaisons, H. Demassue, A. Le Gall, G Pelletier, J. Poncet, R Salami.
Les excusés :
- MMme : M-L & R. Jutel.
DATES À RETENIR
Les prochains rendez-vous diocésains
- 31 décembre : échéance du 2ème règlement du congrès de Lourdes : pension complète 229€ par personne (à régler à l’ordre du MCR14 à M. Louis Porchet 1, ruelle Griffon à 14 700 Falaise).
- Jeudi 8 février 2018 : réunion du pays de Caen.
- Mardi 20 et mercredi 21 mars 2018 : Retraite à Lisieux.
- Jeudi 24 mai 2018 : Pèlerinage diocésain dans l’Eure, à l’abbaye Notre Dame du Bec Helloin* ainsi que la visite du château de Beaumesnil.
- Lundi 18 juin au vendredi 22 juin : 3ème « Journées du Monde de la Retraite » à Lourdes.
Le prochain rendez-vous de notre équipe est fixé jeudi 18 janvier de 14 h à 17 h - Salle Notre Dame à Bretteville-sur-Odon. La messe sera dite par le Père Michel Marie. Animation d’Antoine Le Gall "L'espérance" pages 15 à 18. - Goûter : galette des rois.
L’abbaye du Bec Hellouin est au programme de notre sortie du 24 mai prochain.
Cette célèbre abbaye a été fondée en 1035 par le chevalier Herluin de Brionne. Elle a rayonné durant des siècles et a vu passer dans ses rangs entre autres Lanfranc de Pavie et le futur pape Alexandre II. À la Révolution Française, les moines doivent quitter l’abbaye qui devient propriété de l’État. C’est désormais l’armée qui occupe les bâtiments de l’ancienne abbaye jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.