Dans un monde en mal de repères et en proie à des doutes existentiels sur son destin, se pose la question de la nature des fondements spirituels de nos sociétés. L’actuel et apparent désintérêt pour la verticalité première de l’homme a engendré en contre-réponse des fuites en avant dans une violence nihiliste d’une partie de nos jeunes générations. Cet article analyse les alternatives possibles et notamment la redécouverte d’une voie à la fois ancienne et nouvelle que l’on peut qualifier du nom d’expérience de sagesse ou sapientielle du christianisme.
Gérard Fomerand – Jean-Marie Gourvil